De BARBECHAT à DIVATTE sur LOIRE
Présenté aux journées du patrimoine 2016
Note du Webmaster : cette page a été rédigée par l'association du patrimoine à l'occasion des JEP de 2016, et diffère de l'autre page intitulée 1868 : histoire d'une séparation, et qui était le texte de la conférence du samedi 8 avril 2006 par Marcel Pauvert. Si certains éléments peuvent se recouper, de nombreux sujets sont présents parfois chez l'un, parfois chez l'autre. Vous avez un lien direct sur le bandeau du haut vers cette autre page sur l'histoire de Barbechat. Une synthèse est en préparation...
Barbechat, vue prise de l'Ouest
L'époque Gallo-Romaine
C'est en l'an 777 que l'on retrouve dans les archives les premiers écrits concernant BARBECHAT.
Ce site existait déjà depuis bien longtemps, il était situé à 1,5 km du bourg actuel au lieu dit : « Le Perthuis-Churin ». Onze haches, répertoriées par le C.N.R.S. comme étant du néolithique, prouvent que le lieu était occupé à l'époque gallo-romaine. M. MÉNARD, l'agriculteur qui a découvert ces pierres dans un champ voisin, les avait déposées chez M. BOURDIN qui tenait le secrétariat de mairie dans sa maison. Lorsque le secrétariat intégra la mairie en 1969, les haches y furent déposées mais il en manquait deux.
Une autre preuve de la présence gallo-romaine est le pont de pierre, en aval sur la rivière « Divate » (présage des dieux) au lieu-dit « Thurinet », à 1 km de là, qui aboutit à une voie romaine encore visible.
Dernière preuve : le tumulus près de l'ancienne église du Perthuis-Churin. Ce tumulus, selon la légende, aurait été édifié à la demande d'un centurion romain de l'armée de Jules César pour ensevelir le corps de sa femme, la belle Ima. Ses soldats l'auraient élevé en transportant la terre dans leur casque. Trois grottes existent sur son flanc.
Des fouilles entreprises en 1868-69 par M. PARENTEAU, conservateur du musée d'archéologie de Nantes, ont révélé qu'il s'agit d'un lieu de sacrifice cultuel comme en pratiquaient les gaulois en l'honneur de leurs dieux.
Certains stipulent qu'une motte féodale a été construite au XIème siècle sur ce tumulus pour surveiller l'étroit passage entre la Bretagne et l'Anjou. Aucune preuve n'appuie ces déclarations mais cela peut-être envisagé car, par facilité, il était coutumier d'ériger une motte sur un tumulus.
D'où vient ce nom de BARBECHAT qui interroge et fait sourire ?
Plusieurs hypothèses sont envisagées. La première, liée au nom de Guillelmus de BARBACATI seigneur du lieu en 990, paraît peu fiable.
Restent deux hypothèses. Selon certains, cela viendrait de deux mots celtiques « Bar » signifiant colline et « bec'h » signifiant barrière plus la terminaison « at » signifiant le lieu de résidence.
Après renseignements pris près de deux autres « BARBECHAT » trouvés en France : il n'y a pas de colline ou de monticule à ces endroits !
Nous pensons donc fortement que le nom est lié à la légende du pont de l'Ouen que nous allons vous raconter.
St Martin, voulant évangéliser la région, aurait proposé au diable de bâtir un pont en une nuit, pour traverser le marais, en échange de l'âme du premier être qui le traverserait. Le lendemain matin, St Martin se dirigea vers le pont, au grand plaisir du diable. Au dernier moment, il écarta les bras. Un chat s'échappa de sa bure et traversa le pont au grand dam du méchant. Celui- ci furieux aurait soit courser le chat, le rattrappant par les moustaches en disant : « Barbe de chat, je te tiens ! » soit tenter de l'avaler. Le chat se serait coincé dans sa gorge et, en le recrachant, il serait tombé en ce lieu d'où le nom.
Cette hypothèse nous semble plus probable pour trois raisons :
1) sur la carte de Cassini, BARBECHAT s'écrit en deux mots : Barbe Chat.
2) dans des archives paroissiales du XVIIème siècle, récemment découvertes, il en est de même.
3) dans le rétable de l'ancienne église du XIIIème siècle, transféré dans l'église actuelle, nous pouvons voir, en haut à droite, une tête de chat près de Ste Marie Magdeleine.
Cette particularité insolite nous conforte dans notre analyse.
La paroisse de Barbechat et son église
La paroisse est bien antérieure à celle de La CHAPELLE-BASSE-MER. En effet, BARBECHAT possédait une église Ste Magdeleine alors que La CHAPELLE-BASSE-MER ne possédait que la chapelle St Nicolas de l'Epine. Cette église datant du XIIIème siècle était la deuxième sur le site. C'était une église de forme rectangulaire aux dimensions modestes (18 m sur 9 m). A une vingtaine de mètres au sud se trouvaient la sacristie et l'écurie, car l'hospice (le presbytère) du recteur se trouvait au tènement de la Massonnière et le recteur devait se rendre à cheval à cette église, distante d'environ deux kilomètres, pour officier. Nous avons la description de cette église dans un procès-verbal du 25 juillet 1769 qui nous indique, entre autres, qu'elle possédait un clocher pourvu de deux cloches.
De quand datait la première ? Evidemment après l'évangélisation due à St Martin mais en quel siècle ? Nous savons seulement que le comte Alain, fils du duc de Bretagne, prit possession du prieuré de BARBECHAT à Noël de l'an 1111. L'archidiacre de Nantes, RIVALLAN, présidait la cérémonie. On sait qu'il existait déjà un prieuré de religieuses dépendant de la paroisse. Sa prieure s'appelait Julie. Par la suite, il fut habité par des moines. Ce prieuré se trouvait à Ste Radegonde et dépendait de la paroisse de BARBECHAT. C'est à ces moines que la paroisse doit l'acquisition d'un missel inestimable.
Contrairement aux usages habituels, le cimetère ne se trouvait pas à proximité de l'église car le sol rocheux empêchait toute inhumation. Ce cimetière se situait à environ 300 mêtres, séparé d'un chemin par un muret.
Sur un tertre voisin de l'église s'élevait une croix de pierre. Au dessus de cette croix, une seconde croix en tuffeau, plus ancienne, dite croix hosannière, portant d'un côté le Christ crucifié et de l'autre la Vierge éplorée, était érigée. Ce monument a été transféré dans le cimetière puis redéplacé en 1945 place de l'église. Malheureusement, la croix hosannière démontée pour restauration est actuellement intouvable !
Un nouveau calvaire érigé par la famille de BOUSSINEAU au Perthuis-Churin à été béni le 25 avril 1891.
Les missels
Le premier missel date du XIème siècle. Il a été écrit tout d'abord pour une église du diocèse de Poitiers comme le prouve la table de ses fêtes où l'on trouve des saints tels que Ste Radegonde, St Hilaire, St Porchaise. A partir du XIIIème siècle on y ajouta les saints nantais et de nouveaux saints dont Thomas Becquet canonisé en 1173. Le nom de « MARIE MADELENE » en lettres capitales, à la date du 22 Juillet, indique clairement que le missel était destiné à la paroisse de BARBECHAT dont la sainte était la patronne. Dans ce missel nous retrouvons le nom de bienfaiteurs locaux dont : Hérédes de Barbechat, Dame Aénor de la Riverie, Pétrus Boscher, Guillermus de Barbechat. Ce missel a été vendu en 1904 par une femme à un antiquaire nantais pour 400 F, somme qui a servi à la fabrique pour payer les travaux exécutés dans l'église de BARBECHAT. Cet antiquaire l'a ensuite revendu à M. ROSENTHAL, antiquaire munichois. Quand ce dernier a voulu revendre ce livre M. DELISLE, administrateur de la Bibliothèque Nationale, a été informé que le missel avait été répertorié par L. MAISTRE et qu'il était inaliénable. Le missel a donc été acquis par la Bibliothèque Nationale et les deux antiquaires se sont fait rembourser. La quittance et toutes les pièces du dossier sont au sécrétariat de la Bibliothèque Nationale.
Le second missel, appelé missel du chantre, date de la fin du XIVème siècle ; c'est un antiphonnaire de 480 pages écrit en lettres gothiques entièrement sur parchemin. Les notes sont noires sur portées rouges. Nous y trouvons quelques miniatures et figures grotesques. Des notes marginales ont été ajoutés au cours des siècles suivants pour indiquer des fêtes nouvelles ou faire des corrections. Les jours sont indiqués par des lettres : a, dimanche, b, lundi et ainsi de suite. Ce missel est visible aux archives de l'Evêché de Nantes.
Le blason de Barbechat
Il daterait de 1050. A sa création, il est d'argent au léopard passant de gueule et symbolise la famille des seigneurs de BARBECHAT. Par la suite, six croix noires, attestant de la participation de ces seigneurs aux croisades, ont été ajoutées ainsi qu'une couronne qui pourrait être celle du comte Alain, seigneur de BARBECHAT en 1111.
Les relations entre nos deux paroisses
Comme nous l'avons signalé, nous savons qu'au XIIIème siècle, le centre paroissial est BARBECHAT et La CHAPELLE n'est que fillette. Que s'est -il passé le siècle suivant ? Nous l'ignorons. Nous connaissons l'affaire du Pont-Trubert en 1420 où Jean V a été fait prisonnier, mais nous ne savons pas si à cette date il y avait une agglomération au Perthuis-Churin ou si les villageois devaient se déplacer pour les services religieux. Les archives nous indiquent qu'à partir de 1497 le nom de La CHAPELLE éclipse celui de BARBECHAT. Un acte de baptême du 5 Juin 1521, des actes de 1537, 1544, 1616... nous indiquent que La Chapelle Basse Mer est devenue officieusement l'église principale et que la Magdeleine de BARBECHAT n'est plus qu'une annexe. On peut citer un sieur BREVET qui dit habiter « le climat de BARBECHAT, paroisse de LA CHAPELLE-BASSE-MER » ou encore un texte qui situe le village de la Massonnière « en LA CHAPELLE-BASSE-MER au climat de BARBECHAT. Pendant plusieurs siècles, les relations entre les paroissiens et les représentants de l'église vont être tendus car ces derniers n'exercent pas leur ministère comme il le devrait a BARBECHAT .
Il était temps que l'imbroglio se termine. En 1653, la décision est prise : LA CHAPELLE-BASSE- MER sera le chef-lieu de la paroisse et BARBECHAT la fillette. Celà ne change rien car les recteurs ou vicaires ne font toujours pas les offices pour lesquels ils ont mission. Pétitions et démarches sont faites près des évêques et du roi tant et si bien qu'en 1741, BARBECHAT, trève de La CHAPELLE- BASSE-MER obtient « un vicaire perpétuel ». Un « général » et son conseil paroissial peuvent s'assembler pour délibérer des intérets de la trève. Treize paroissiens demandèrent alors à la Fabrique la translation de l'église. La demande fut acceptée à condition que le transfert soit fait aux frais des demandeurs, sans préjudice des droits du « général » de la CHAPELLE BASSE MER. Le 29 décembre 1768, la Fabrique se réunit. Après délibération capitulaire en présence de Messire René Angevin, Sieur de la MAILLARDIERE on prépara une requête à remettre à Pierre MAUCLERE de la MUZANDIERE en vue du transfert de l'église de la Magdeleine au BOIS- GUILLET
La nouvelle église
Voici le texte de la requête :« il serait à souhaiter pour le bien public que ce projet fut réussi, tant par rapport à ce que cette église menace ruine en partie, exigeant des réparations considérables, que parce qu'en étant isolée et éloignée de tout voisiné, elle est exposée journellement à être pillée, que d'ailleurs elle est située à l'extrémité du canton et que dans le commun du BOIS-GUILLET elle serait plus au centre, entourée de voisins, et plus à la commodité de tout le monde »
Monseigneur l'Evêque de Nantes et le Marquis de ROSMADEC acceptèrent. L'évêque exigea comme condition le transfert des ossements dans le nouveau cimetière, en observant les cérémonies accoutumées, et autorisa les habitants à démanteler l'église. Contrairement à ce qui est dit : le marquis négocia le terrain. Sollicité, il accepta de fournir une surface d'un journal et un quart de terrain sur le dit commun au conditions suivantes : primo, recevoir une redevance de cinq sols monnoy en reconnaissance de la féodalité, secundo, que les habitants feront tailler deux pierres de taille de ses armes dont l'une sera placée en dehors au dessus du principal vitrail, troisièmement que les écussons de ses armes seront peints de distance en distance sur les murs en dedans et que l'on lui fera faire un banc, avec siège et accoudoir, sur lequel seront sculptées ses armes, lequel sera placé du côté le plus honorable. L'acte d'afféage fut signé le 24 mars 1769.
La constuction, commencée la première semaine de janvier 1770, se termina en aoùt 1771. Elle avait coûté mille sept cent quarante quatre livres et soixante sols. Le 1er septembre, le recteur BOUVET procédait à sa bénédiction. De forme rectangulaire, orientée est-ouest, elle était entourée d'un cimetière. Le 19 octobre 1772, le corps de Marie DAVID, veuve en troisième noce de René SÉCHÉ de la Massonnière a été la première personne inhumée dans ce cimetière.
L'époque révolutionnaire
Le 24 janvier 1789 les Etats Généraux sont convoqués. Chaque paroisse devra transmettre un cahier de doléances. Les barbechatains court-circuitent les chapelains et écrivent le leur. Il sera reconnu comme étant l'un des plus avancés de FRANCE par ses remarques. Le 14 décembre, les communes sont créées se substituant aux paroisses. BARBECHAT reste toujours canton de La CHAPELLE BASSE MER. L'église paroissiale ne souffre pas de la révolution. Le 15 frimaire de l'an VI, elle est vendue au citoyen Jean MAIS pour 400 F. S'il n'y a pas de dégâts matériels pendant cette période, il faut malheureusement noter la mort de 70 habitants, civils ou militaires des deux camps.
Pendant ce temps, celà n'empêche pas les paroissiens de continuer à se plaindre des desservants qui continuent à bouder l'église. Les évêques doivent intervenir pour les obliger à respecter leurs obligations. Par exemple, une ordonnance indique d'effectuer les obsèques des enfants de BARBECHAT de neuf ans et moins à La CHAPELLE BASSE MER et celles des personnes plus âgées à BARBECHAT. Heureusement, quelques années plus tard, en 1820, un recteur M. Jean-Louis DILÉ est nommé officiellement. Il aura désormais des successeurs, sans interruption . En 1824 un clocher, posé sur quatre piliers isolés devant la façade, est érigé. Les paroissiens, contents de leur œuvre, écrivent en lettres capitales : « VIVE LE ROI, 1824 ». C'était le règne de Louis XVIII. En 1848, le lieu-dit BOIS-GUILLET prend officiellement le nom de BARBECHAT.
Naissance de la commune
Si la paroisse est émancipée depuis 1820, les habitants du canton de BARBECHAT n'admettent toujours pas leur dépendance civile. Pétitions sur pétitions sont envoyées aux diverses autorités tant et si bien que le 11 juillet 1868, par décret, NAPOLÉON III décide l'érection en commune du canton de BARBECHAT. Le Préfet nomme le Maire M. Jacques LAMBERT. Jugeant que la nouvelle commune n'est pas viable en l'état, il est décidé d'amputer la commune mère de vingt villages, soit une surface de 270 hectares comportant 258 habitants. Cela est mal accepté. Pour calmer le jeu, il est décidé que ces habitants feront partie de la commune de BARBECHAT tout en restant paroisse de La CHAPELLE BASSE MER. Ces habitants dits « du Cressement » n'ont jamais admis la décision, ne venant dans le bourg que pour des actes en mairie.
En 1869, le conseil municipal décide de vendre des « vagues » pour la construction de la mairie.
La deuxième église
En 1861 un nouveau cimetière est créé car le cimetière actuel cause une gène pour la circulation. En 1885 l'église, mal construite au départ, est démolie et il est décidé d'en construire une plus importante. La première pierre est posée le 25 juillet 1886. L'église terminée est bénite le 22 décembre 1887 et le curé BACHELIER y célèbre la messe le 28. Coût de la construction : 80 240 F hors frais d'architecte. Entre temps, la messe est célérée dans la grange d'une ferme toute proche.
Le 10 mai 88, Monseigneur LE COQ la bénit solennellement pour la confirmation et félicite la paroisse. En 1900, le curé BIORET ajoute le clocheton et le maître-autel.
Les écoles
En 1848, il y a 3 classes de garçons et une de filles à La CHAPELLE BASSE MER. Prétendant que les enfants de BARBECHAT perdent en revenant tout ce qu'ils on appris, la prise en charge d'une école communale est demandée. Elle est refusée. Le préfet oblige le conseil municipal à voter 3 centimes additionnels pour ouvrir et entretenir une école à BARBECHAT. En 1866, c'est encore un refus pour ouvrir une école de filles. En conséqunce, en 1868, le conseil municipal décide que l'école existante sera mixte. C'est un tollé. En 1873, le maire André de BOUSSINEAU demande aux sœurs de St Gildas d'ouvrir une école communale de filles. Deux classes ouvriront le 28 octobre 1873. Jusqu'à cette date, l'école se faisait dans des locaux loués par la commune. En 1903, en raison de la séparation de l'église et de l'état, il fallait trouver un terrain pour construire deux nouvelles classes. La famille de BOUSSINEAU accepta de céder un terrain avec une petite maison. L'achat du terrain coûta 4020,50 F et le bail pour la maison s'éleva à 400 F de loyer annuel. Les religieuses, en civil, se faisaient appeler « mademoiselle ». C'est en 1941, sous PÉTAIN, qu'elles reprirent l'habit religieux. Cette école ferma à la rentrée 1970. Depuis, il n'y a plus qu'une école publique qui est passée de 2 à 6 classes.
BARBECHAT des XXème et XXIème siècles
1914-18 : 843 habitants plus de nombreux réfugiés belges et du nord-est
1927 : L'électricité arrive dans le bourg
1940-1945 : 581 habitants plus environ 400 réfugiés, belges, hollandais, nantais et nazairiens.
1943 : Installation d'une horloge sur le clocher
1945 : Mme de BOUSSINEAU, première femme élue maire de BARBECHAT
1954 : Projet pour desservir la commune en eau potable
1955 : référendum pour le changement de nom de la commune (Bois-Guillet 39, Barbechat 261)
1968 : première maison neuve. Prix du terrain : 1 F le m² - 1973 : 8 F et maintenant ?
1969 : création du club de foot
1970 : premier moto-cross suivi de la création du comité des fêtes en 1971
Cet événement est à l'origine de la renaissance de BARBECHAT. L'affichage jusqu'à ANGERS, les pages entières dans les journaux, la télévision ont fait qu'enfin BARBECHAT soit connu et reconnu, ce qui fait que la population a doublé depuis cette date.
1978 : Nom des rues pour le bourg à la demande de la Poste
Que sont devenus les relations avec La CHAPELLE BASSE MER pendant ce temps ?
Un contentieux à longuement continué jusque dans les années 1980. Si certains rapprochements ont eu lieu, c'est surtout pour des raisons financières : Secours mutuel, Mutuelle chevaline, CUMA, Maison de retraite.
Par contre, la paroisse a préféré se regrouper avec LE LOROUX BOTTEREAU et les jeunes équipes de foot-ball avec LE LANDREAU.
Heureusement, depuis, les choses ont bien évolué. Des regroupements ponctuels ont été conclus et, le 1er janvier 2016, les deux communes ont fusionné sous le nom de DIVATTE sur LOIRE.
Barbechat, place de l'église, coté Nord
2024 créé par Pierre Gallon et Pierre Saunière contact : patrimoinechapelain@gmail.com